Un autre groupe (Abdelrahman Didouche, Elisabetta Fiorenza et Geoffrey Hoebreghts) s'est attaché à produire la discrétion demandée. Par l'implantation d'abord : en entrée de site mais cachée par un bosquet. Par l'expression ensuite, dont la verticalité cherche à imiter celle des arbres aux alentours, en un camouflage. Par la simplicité du plan et de la volumétrie enfin : un unique parallélépipède accueille les différentes fonctions, suivant une séquence étudiée.

Le projet final affine l'implantation et le plan, dissocie le point d'information pour les visiteurs de l'étable, et développe l'expression de la façade.